(Homme politique écossais)

"Accueillir de nouvelles personnes en Ecosse ne menace ni les emplois ni le style de vie des Ecossais... Les extrémistes disent qu'il faut être né ici pour y travailler. Mais j'ai une confiance absolue dans le public écossais qui n'a rien à voir avec les préjugés et la haine propres à ces fascistes."

Le 19/04/2004 devant la Conférence des Syndicats écossais réunie à Glasgow.

"Nous collaborons avec les entreprises grandes et petites afin de faciliter l'embauche de personnel outre-mer."

Le 27/02/2005 à l'usine IBM de Greenock, alors premier ministre écossais.

"La prospérité économique de l'Ecosse dépendra de l'augmentation du flux migratoire venu d'ailleurs."  

"Je veux que l'Ecosse devienne un aimant pour les nouveaux talents. Je veux qu'on nous connaisse comme étant le pays  le plus accueillant au monde." Nouvelle 

Le 21/02/2004, alors premier ministre écossais.

(Homme politique français, né en 1941)

"La France a toujours été un pays d'accueil, alors que les autres pays européens étaient des pays d'émigration [...] La France est en quelque sorte les Etats-Unis de l'Europe [...] Nous nous sommes construits avec les apports des immigrés en anticipant la baisse démographique constatée dans le pays dès cette période (NDLR : le XVIIè siècle). De leur côté, les immigrants sont venus en raison de l'attrait exercé par les valeurs françaises, comme la démocratie et la liberté, ainsi que du besoin de travailler [...] Certains en France affirment que l'intégration est en panne, mais les chiffres démontrent le contraire. L'intégration, ça marche."

Alors président de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, lors de son séjour au Liban, le 18 avril 2011, aux Rencontres de la résidence des Pins à Beyrouth.

"La France, ce sont les Etats-Unis d'Europe parce qu'elle a accueilli depuis le XIXème siècle des millions d'étrangers sur son sol, européens d'abord, puis d'origine coloniale et postcoloniale." Nouvelle

Vu sur le site algeria-watch.org, 21 juin 2010.

(homme politique juif allemand, né en 1945)


« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ?" Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ».

 « J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ».

Dans son livre Le Grand Bazar (Belfond, 1975)

 

« Nous sommes tous des juifs allemands. »

Meeting à la Sorbonne le 28 mai 1968



« Pour enrayer la xénophobie, le mieux serait encore d'augmenter et non de vouloir réduire le nombre d'étrangers. »

Xenophobies, Grasset, 1998



"Je suis pour une démocratie directe "encadrée" par une Constitution qui ne permette pas de voter sur n'importe quoi. Une votation comme celle des minarets, qui cible une communauté en particulier, restera une tache noire sur la réputation de la Confédération." 

 
Dans le numéro spécial du nouvel observateur consacré au sommet de Copenhague.

"Ce qui me plaît en France, c’est son cosmopolitisme. Les Noirs, les Arabes, les toucans. J’aime la France surtout pour ça."  

(A. Harris, A. de Sédouy, toucans et Français, Grasset, 1979, p. 188)

"Il faut que l'Europe se pense comme région d'immigration, à la manière des Etats-Unis."

"Une politique nataliste me semble absolument inutile... La famille n'a pas de valeur par elle-même."  

"Ce qui compte beaucoup plus, pour moi, ce sont les relations dans le couple. Quel que soit le sexe des partenaires : un couple homosexuel doit avoir les même droits qu'un couple hétérosexuel." Nouvelle

Une Envie de politique (1998).

(Editeur, auteur, critique littéraire, animateur de télévision et chroniqueur radio français, né en 1961)

"L’immigration contribue grandement à la prospérité de notre pays."

(Homme politique des États-Unis, 1917 - 1993)

« Le dollar est notre monnaie, mais c'est votre problème. »

 1971, alors secrétaire du Trésor.